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Antivol scooter : 5 choses à savoir

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antivol

Certes, vous adorez vous déplacer en scooter… Sauf quand il s’agit de stationner votre engin devant chez vous, avec la peur de ne pas le retrouver le lendemain matin ! Voici tout ce que vous devez savoir sur les antivols afin d’éviter cette situation.

1# S’équiper d’un antivol est absolument nécessaire

Selon l’enquête Cadre de vie et sécurité réalisée chaque année par l’Insee, 44 000 ménages ont été victimes d’un vol ou d’une tentative de vol de leur deux-roues à moteur en 2018. Si ce chiffre est en baisse – il a atteint son niveau le plus bas depuis 2008, ce qui est une bonne nouvelle – , il en dit long sur la manière dont il convient d’équiper son scooter ou sa moto : l’achat d’un antivol est indispensable !

2# Il existe différents types d’antivol sur le marché

Ces différents types d’antivol se divisent en deux familles :

  • Les antivols mécaniques, qui empêchent votre scooter de rouler. La plupart d’entre eux ne sont à leur efficacité maximale que lorsqu’ils sont attachés à un point d’ancrage. On trouve parmi eux le « U », réputé pour être le système le plus robuste ; le bloque-disque, qui immobilise le deux-roues en bloquant ses freins ; ou encore la chaîne, souvent utilisée par les conducteurs en quête de facilité d’utilisation – il est en effet plus simple de passer une chaîne derrière un point d’ancrage qu’un « U », mais attention à ne pas la laisser traîner par terre ;
  • Les antivols électroniques, qui n’entravent pas votre engin mais ont un effet dissuasif. On parle ici des dispositifs comme l’alarme, la géolocalisation ou encore l’anti-démarrage

3# Les prix sont très variables

En fonction des fonctionnalités, ces prix peuvent même varier du simple au double ! Pour un antivol bloque-disque, vous trouverez des entrées de gamme à 10 €, et certains dispositifs électroniques peuvent atteindre les 300 €.

Attention néanmoins à la certification du produit choisi… Acheter un antivol à bas prix pourrait vous attirer des ennuis auprès de votre compagnie d’assurance s’il n’est pas certifié.

4# Les assureurs exigent un certain type d’antivol

Il n’existe pas de loi qui régente l’achat d’un antivol. En théorie, vous êtes donc libre de choisir l’antivol que vous voulez. Néanmoins, la plupart des compagnies d’assurance exigent que les deux-roues assurés chez elles soient protégés par un antivol homologué SRA (sécurité et réparation automobiles).

D’autres labels permettent également de savoir si l’antivol pour lequel vous optez est d’une qualité suffisante : c’est le cas du logo « NF antivols moto », délivré par l’AFNOR et recommandé par la FFMC (Fédération française des motards en colère). Ce dernier certifie que le produit présente un haut niveau de résistance à l’effraction.

Sachez néanmoins que malgré vos efforts pour investir dans un antivol efficace, vous n’êtes jamais à l’abri de vous faire voler votre véhicule… Vous mettez simplement toutes les chances de votre côté d’être indemnisé par votre assureur en cas de vol.

5# Un antivol demande de l’entretien

Pour que votre antivol reste efficace, gardez-le à l’abri de l’humidité et essuyez-le lorsqu’il est mouillé afin d’éviter la rouille.

Dès lors que vous constatez une tentative de vol – c’est assez flagrant lorsque le « U » est voilé par exemple –, remplacez votre antivol.

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